Leírás
Un matin, Le Petit a décrété :- Je veux mon papa.
Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussene, frere de famille, que Le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai pere. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs.
Apres deux jours de jeune Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette :
- Je veux mon papa.